C’est le constat de certains scientifiques qui viennent de publier une étude dans la revue Nature: Les scénarios les plus pessimistes étaient trop optimistes en matière de réchauffement climatique: la faute aux nuages.
On s’acheminerait donc vers de larges zones de la planète inhabitables à partir de 2040.
Quelques articles pour faire le point:
– Réchauffement climatique : les modèles sont-ils en train de s’emballer ?
– Réchauffement climatique : la biodiversité est en grand danger d’extinctions massives et brutales. ( Futura Science )
– “Climate worst-case scenarios may not go far enough, cloud data shows” ( The guardian )
Peut-être un signal pour sortir de l’hypocrisie qui consiste à faire croire que les engagements de “développement durable” sont tenables sans une profonde, radicale et urgente transformation de nos sociétés et de nos comportements ?
La crise du Covid aura aussi montré cela tout comme Clément dans le N°17 de ses nourritures terrestres: “Ceci n’est pas une décroissance”. En attendant la course à la croissance et au remboursement des dettes repart de plus belle ….