Lorsque mon ami Roland m’a offert ce livre pour mon anniversaire il a rejoint la grande pile de ceux qui attendent d’être lus…
Et puis, à la faveur du re-confinement, j’ai recommencé à lire en savourant ce livre que je considère désormais comme essentiel, “éminemment inspirant, nous invitant à sortir de nos conditionnements en écoutant notre cœur”.
Il rejoint les 2 autres livres qui ont le plus compté pour moi ces 10 dernières années : “Et la lumière fût” de Jacques Lusseyran et “Sri Aurobindo ou l’aventure de la conscience” de Satprem.
J’avais déjà ici cité un magnifique texte de son auteur Charles Eisenstein qu’il a intitulé “le couronnement”.
Quelques passages vous donneraient peut-être envie de lire “Notre coeur sait qu’un monde plus beau est possible” comme celui-ci par exemple :
La première étape pour changer quelque chose est donc de recevoir une vision que l’on pressent vraie. La deuxième étape est de guérir les blessures et les doutes que cette vision met au jour. Si on ne le fait pas, on se retrouve en conflit, car on joue simultanément la nouvelle histoire et l’ancienne histoire relative à ces blessures. La troisième étape est de s’incliner pour se mettre au service de ce qui veut naître. Et ce n’est pas un processus linéaire. En général, la vision devient de plus en plus précise au fur et à mesure que l’on guérit les doutes qui l’obscurcissent ; et ceci, en retour, permet de se mettre de plus en plus profondément à son service. Un service plus profond révèle de nouvelles dimensions de la vision, ainsi que des blessures plus profondes. Le chemin du service est donc un chemin d’auto-réalisation.
mais suivez plutôt votre intuition, votre curiosité et …votre cœur !!
Merci Roland !!!