Voici un candidat qui pourrait devancer ou se cumuler avec le tsunami financier évoqué il y a quelques jours et contribuer ainsi à l’effondrement partiel ou global de nos systèmes …
A vrai dire à la lecture de différents articles dont la source est l’excellent travail journalistique du New York Times cet effondrement, revanche de la nature, semble déjà en cours, en toute discrétion jusqu’à la révélation par ce même New York Times ce 6 avril dernier.
Je vous laisse découvrir ce dossier dont on risque désormais d’entendre parler de plus en plus.
Ici l’article de “Up Magazine” et sa conclusion qui résume tout :
Une raison de plus de réduire l’utilisation irraisonnée des produits phytosanitaires dans l’agriculture et de consommer les antibiotiques avec une extrême réserve. Un changement dans nos comportements qui se heurte, encore une fois au mur de l’argent et des intérêts industriels : le marché des antibiotiques pesant à lui seul 40 milliards de dollars à l’échelle mondiale. Avec C. auris, on assiste, d’une certaine façon, à la mutation darwiniste d’un organisme vivant, une sorte de réaction naturelle face à un capitalisme globalisé débridé.
Et ci-dessous une vidéo pédagogique sur les antibios et la résistance des bactéries :