Pas aussi grande que wikipédia avec 19 147 articles sur 193 pays entre 8000 av. J.-C. et 2000. Des enregistrements sonores, des films du début du 20ème siècle, des cartes anciennes la bnm permet d’accéder au tout gratuitement.
Son principal atout est le multilinguisme, ainsi qu’un choix des documents très sélectif, mettant en avant des « documents fondamentaux », tels que l’original de la Déclaration universelle des droits de l’homme, la Constitution des États-Unis ou la plus ancienne version enregistrée de La Marseillaise, datant de 1898.
En 2009, les plus anciennes œuvres numérisées sont des peintures rupestres africaines, vieilles de plus de 8 000 ans.
Aussi il y a “Européana” qui compte 58 millions d’objets numériques.
Europeana n’archive pas les œuvres, mais sert uniquement d’interface de recherche. Les œuvres sont disponibles à travers des liens vers la bibliothèque numérique de l’institution ayant assuré sa numérisation et sa mise en ligne, par exemple Gallica3.
Plus de 3500 institutions participent à Europeana4, comme la British Library à Londres, le Rijksmuseum à Amsterdam ou le Louvre à Paris. Pour cela, les États membres s’engagent à numériser leurs contenus, les rendre accessibles sur le Web et à assurer leur conservation sous forme numérique pour les générations futures.
Vous connaissiez ? Je serai curieux de connaître le nombre de visiteurs de ces 2 sites …
Pour ceux qui n’ont pas pu assister à la soirée en aimergence #14 avec Sofia Stril Rever voici l’enregistrement : “l’urgence d’aimer”